(Vivement que le chef de la Rupture donne publiquement le nom de son savon)
Restez dans le juste et laissez les chiens sans colliers aboyer de toutes leurs cordes vocales ! C’est cette sagesse africaine qui est en cours en république du Bénin sous la Rupture. Que ce soient ceux qui avaient déclaré tôt leur haine, ou ceux qui se sont fendu d’en fabriquer une contre le président Patrice Talon après avoir mangé et dormi près des assiettes, tous ceux qui osent rêver d’affronter le chef de l’État béninois, tombent aujourdhui comme des mouches.
Au début de la crise d’adolescence politique d’Olivier Boko pour se porter candidat, le président Talon très bienveillant avec son ami, l’avait presque supplié de ne pas perdre de sa lucidité.
Le fauteuil présidentiel béninois n’est pas un gâteau familial ou un bifteck entre amis pour que lui, le président libère le pouvoir au profit de son ami et bras droit. Une sagesse trop compliquée à la compréhension de Séverin Quenum, Olivier Boko et des autres qui ont mangé à la table depuis l’avènement de la Rupture et qui désirent emporter les assiettes et la table. Ils décidèrent de faire coalition pour obtenir du président de la République, de gré ou de force, qu’il les adoube au Graal. Mais le maître de la Rupture tout en gardant ouvert le portail de l’amitié et de la fraternité, est resté intransigeant sur la question de l’éthique dans la gouvernance. Cela a été son crime. Il faut le dégager de force du palais présidentiel.
Mais comme c’est Dieu même qui fait le combat du juste, ils mordent tous la poussière. La suite, tout le monde la connaît. L’ancien ministre Séverin Quenum qui a pensé la Criet dont il sait vendre la vertu, refuse aujourd’hui de répondre à une simple convocation. Il a préféré demander tranquillement l’asile en France, rejoignant sans vergogne les autres qu’il critiquait. Olivier Boko lui, est bien gardé. Tous les plans d’évasion au laboratoire, sont déjà pris au sérieux par les stratèges en la matière.
Du côté de Kémi Séba, ce fut du tac au tac. C’est par la même arrogance avec laquelle il s’attaquait impunément au président Talon, qu’il est tombé. La France dont il critique tout, était là peinarde quand il est monté sur ses gros sabots pour aller se faire cueillir telle une mangue mûre. Pourquoi entrer illégalement en terroriste sur le sol français ? La France qui veut prendre tout son temps pour régler son cas, ne s’empresse même pas pour donner tous les chefs d’accusation qui militent à son arrestation.
Il faudra reconnaître avec le président béninois, que quand on s’acharne contre lui par simple haine bestiale, on tombe tout seul. D’autres diront que la chose devient une question de savon. Mais personne ne croira le président Talon s’il dit qu’il se lave simplement avec du Palmida. La saison n’est pas bonne pour penser à nuire au président Talon.
L’autorité du président de la République est établie par Dieu. Affronter un président sans raison soutenue est simplement se griller dans de l’huile chaude. Kémi Séba a déjà retrouvé tous ses esprits depuis que des policiers français lui ont porté les menottes.
Aboubakar TAKOU