(Ils y laisseront malheureusement leur dentier. Car le tronc du Baobab n’est pas un cure-dent)
« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent. » Dit le Psaumes 23:4. Un verset biblique sous lequel, le président de l’Union progressiste le Renouveau, Joseph Djogbénou, marche, œuvre. Et comme le disait si bien Albert Einstein, « le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito », il n’a pas pu porter cet habillement à l’aspect religieux lors de la réunion de la Direction Exécutive Nationale (DEN) la semaine écoulée à Parakou malgré cette onction divine qui l’habite. Tout simplement, parce que l’homme agit en étant inspiré pour le bien de tous.
Mais comme on ne saurait être, quel que soit ce qu’on fait bon pour tout le monde, il y aura des gens pour vous critiquer, pour des croque-jambe et autres. Car pour le président de l’Union progressiste le Renouveau, Joseph Djogbénou, il n’a pas d’ennemis, mais rien que des aigris au regard du dynamisme insufflé au plus grand parti politique du Bénin sur le terrain. Et force de voir ce parti étendre ses tentacules, cela énerve certains qui auraient souhaité qu’il trébuche. Une réunion de Parakou qui au-delà de tout ce qu’elle a suscité comme gain pour le parti, fait encore des jaloux parce que Djogbénou n’est pas tombé. Alors il faut voir des poux dans le crane du chauve. Rien que l’aigreur, la jalousie, ce mal qui ronge le Béninois, parce que jamais content de voir les autres heureux.
Et pour ce faire, tout ce qu’il est mauvais. Quand on nomme quelqu’un à un poste de direction, il est mauvais. Quand il fait une action, on voit qu’il est mauvais. Etc. certes, il y a certains jaloux qui se croient tapis dans l’ombre alors qu’ils ne le sont aucunement. Car ils sont plus qu’à découvert. Et pourtant, cela n’empêche pas Djogbénou de conduire le bateau Up le renouveau comme cela se doit.
C’est ça le chef ! Savoir gérer l’aigreur de quelques personnes qui se croient être le nombril du monde. Malheureusement, ils y laisseront leur dentier. Car le tronc du Baobab n’est pas un cure-dent. Avis donc aux aigris.