Dans la 8ᵉ circonscription électorale, le paysage politique semble se redessiner sous l’impulsion du Bloc Républicain et la stratégie novatrice de son représentant, le Ministre Conseiller Rachidi Gbadamassi. À l’issue d’une tournée politique de proximité à Parakou, Gbadamassi a non seulement démontré la vitalité du parti au pouvoir, mais a surtout mis en lumière le vide stratégique laissé par l’opposition dans cette zone clé du Septentrion.
Une tournée, cinq quartiers, un seul message puissant : du quartier Alagare à Camp Dagbè, en passant par Kpérou-Guera, Gah-Non et Baka, le ministre conseiller a pris le pouls de la population, écouté attentivement leurs doléances et martelé un message clair : “Le développement ne viendra pas de l’opposition.”
Face aux réalités quotidiennes – accès à l’eau potable, état des routes, services de santé, énergie, lieux de loisir – les habitants ont exprimé leurs besoins urgents et concrets. Gbadamassi, fort de son expérience d’ancien maire, député et ministre, a su trouver les mots justes, garantissant que leurs préoccupations seraient portées au plus haut niveau, au sein du comité interministériel où se prennent les décisions cruciales pour le développement national.
Gbadamassi dévoile sa nouvelle carte : l’inclusion des populations venues d’ailleurs
Mais au-delà de l’écoute, c’est une véritable stratégie politique que Gbadamassi a mis en œuvre. Tirant les leçons des échecs passés, le cadre du Bloc Républicain a compris qu’il fallait associer les populations venues d’ailleurs – c’est-à-dire la diaspora issue d’autres ethnies – à la dynamique du parti. À Parakou, et plus largement dans la 8ᵉ circonscription, Gbadamassi a commencé par les intéresser aux valeurs du Bloc Républicain à travers une série de rencontres ciblées ce week-end.
Cette méthode s’avère particulièrement payante, car ces diasporas, qui représentent jusqu’à 50% de la population élitiste de la 8ᵉ circonscription, sont souvent négligées par les acteurs politiques traditionnels, obnubilés par les seuls autochtones. Gbadamassi se positionne ainsi comme un visionnaire, un « génie politique » qui a compris qu’il fallait aller vers eux, leur démontrer que le Bloc Républicain est un projet inclusif, où « ce qui concerne tout le monde concerne le Bloc Républicain ».
Pour le ministre conseiller, le Bloc Républicain apparaît comme l’unique alternative crédible. Il a d’ailleurs rappelé avec force : “Le n°2 du gouvernement, Abdoulaye Bio Tchané, est président du Bloc Républicain. Il est celui qui après Talon peut concrétiser vos doléances. Et donc la solution à vos problèmes, c’est le bloc républicain.” Ce message, à la fois rassembleur et stratégique, sonne comme un avertissement à une opposition absente du terrain et incapable de proposer des solutions concrètes.
Gbadamassi a martelé son nouveau mot d’ordre, véritable doctrine politique à la sauce BR : “Un pour tous, tous pour un”. Un appel à l’unité autour d’un projet pragmatique, visible et ancré dans la réalité. Sans nommer directement ses adversaires, le ministre conseiller a lancé des piques acérées : “L’opposition n’a ni bilan, ni vision, ni présence. Elle ne peut rien pour vous.” Un constat que semblent partager de nombreux habitants, lassés des discours creux.
Avec cette tournée et cette nouvelle approche, le Bloc Républicain semble avoir pris une longueur d’avance décisive, mobilisant les électeurs sur des bases solides et concrètes. Si la ferveur populaire et les engagements tenus sur le terrain se confirment, la 8ᵉ circonscription pourrait bien devenir un bastion incontestable du parti au pouvoir.
À Parakou, le vent du changement semble avoir choisi son camp. Et ce vent souffle résolument du côté du Bloc Républicain, porté par l’audace et la clairvoyance de Rachidi Gbadamassi.
AY
