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Société

Tribunal de Cincinnati aux Etats-Unis : violence et viol sur une Béninoise : Jonas Koudénoukpo dit Flê Woli, condamné et interdit de s’approcher du quartier de sa femme et ses trois enfants

Gandaho n’est pas un ange. Tout le monde peut le juger. Juger toute la presse béninoise à travers les journaux qui travaillent avec la Fondation Thierry Gandaho. Mais pas Jonas Koudénoukpo, dit FLÊ WOLI.

L’homme que tous les intrigants vénèrent, certains par peur de se voir attaquer et d’autres par le simple amour de jouir en voyant détruire ceux qui sont plus heureux qu’eux, n’est pas l’ange qu’il fait croire.

Jonas Koudénoukpo est un malade. Ce qu’il a fait à la pauvre béninoise de Porto-Novo, comme lui, est indescriptible et intolérable. Célébrer ce monstre, c’est tuer la Femme. Son objectif est de ramener Thierry GANDAHO à son expression à lui.

DU MALHEUR DE NOTRE COMPATRIOTE QUE LA JUSTICE A SAUVÉ DE SES GRIFFES

La pauvre dont on tait le nom, est bien instruite pour avoir fait l’Injeps comme lui. Il était son aîné en promotion. Profitant d’une de ses venues au Bénin, il en profite pour faire la cour à son amour d’enfance. La pauvre accepte et lui donne une fille. C’est même à Parakou que la petite voit le jour. Quelques années après, elle rejoint son mari aux États-Unis.

Seule à la maison avec sa fille, elle fouille dans l’ordinateur de l’indélicat quand elle découvre l’horreur. Monsieur a des relations avec la femme de son ami-frère qu’il fait passer pour sa coiffeuse. La pauvre a ainsi vu ce qu’elle ne devrait pas voir. S’ensuivent toutes les formes d’intimidation et de bastonnade.

Pour mieux la traumatiser, il la fait travailler au noir et encaisse tous ses revenus. Cela a été dit au procès au Tribunal de CINCINNATI dans l’État de l’OHIO aux États-Unis.

Mais là n’est pas le problème. Personne ne sait ce que prend cet homme, car ce dernier bande à chaque fois qu’il bastonne la femme. Si bien qu’elle tombe enceinte contre son gré. Bouleversée, la maman de celle-ci a dû atterrir dans la ville pour sauver sa fille. Le petit naît et la belle-mère veut que ça s’arrête là.

Malheureusement, c’est mal connaître le forcené. C’est à deux mois de la naissance du petit Fênu qu’il viole la pauvre à sang pour l’engrosser de nouveau. Elle n’a même pas eu son retour de couches. Voilà pourquoi la différence d’âge entre les deux petits ne dépasse pas 12 mois. Et ça, c’est votre paroissien.

Et tout ceci dans un esclavage sexuel inqualifiable. N’en pouvant plus, la dame, sur les conseils de ses amis et de sa maman, s’enfuit pour sauver sa peau et porte plainte.

Vous n’allez pas imaginer l’ingéniosité avec laquelle l’indélicat a menti au tribunal pour enfoncer celle qui lui a fait trois enfants. Heureusement que les juges qui ont validé les nombreux certificats médicaux, ont sauvé la dame, et condamné Jonas Koudénoukpo. Mieux, il lui a été interdit d’approcher les périmètres du quartier où vivent sa femme et ses trois enfants.

C’est peut-être ce traumatisme de se voir interdit d’approcher même le quartier de la femme qui le pousse à venir prendre son pied sur la toile.

Des images de sévices corporels sur la femme donnent froid dans le dos. Par respect à la pauvre dame on ne saurait divulguer ses images et son identité. Si l’agressif ose réfuter, ce sera la maman de la victime qui se chargera de faire un direct sur TikTok. De plus, s’il tient à démentir les faits, qu’il approche sa famille à seulement un kilomètre et il se verra renvoyé ici au Bénin.

Il n’y a aucun plaisir à raconter les difficultés de la vie de couple des autres. Mais Jonas est un monstre pour la FEMME et pour les autres.

Tout le monde peut parler de Gandaho, de Takou, mais pas de ce monstre. Aimez-le ! Célébrez-le ! Mais sachez que si vous n’avez pas de filles, de femmes, vous avez au moins une mère. Cet homme est un monstre pour la FEMME. S’il a pu faire tout ceci dans une si puissante démocratie, imaginez-le ici sous nos tropiques.

Priez pour la pauvre et ses trois charmants enfants, et demandez-vous pourquoi cette condamnation, cette interdiction à rester à des kilomètres de sa propre famille.

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